Floride

Ciel de Floride en août.

Jeux de société

UpWords en famille (2 joueurs ou plus). Pour former des mots qui s'emboitent. Contrairement au scrabble, les lettres se superposent aussi. Une belle invention, à recommander!

Mots croisés: Trop de mots au dictionnaire pour des définitions souvent inutiles. UpWords: Pas assez d'entrées au dictionnaire pour les mots "convoités"...

Lecture Apprendre à faire le vide

Lecture du livre de Paul Ariès "Apprendre à faire le vide, Pour en finir avec le toujours plus"

Petit format, lecture facile. Historique et réflexion intéressante sur l'hyper-consommation. Comment elle s'est installée. "On ne naît pas consommateur, on le devient". Se contredit malheureusement. Reste au niveau des idées quand arrive le temps de proposer des solutions en finale.

Le comble? Le bouquin qui amorce sa conclusion avec un intitulé du type : "La solution à la crise globale qui menace aujourd'hui n'est pas de consommer moins" (sic) après 130 pages de réflexions sur les maux de la consommation, et le vague désir d'étendre la gratuité, la valoriser et en faire un principe économique et politique ! Rien de moins, mais rien de plus.

Le blog

Recherche des blogs sur Google. Celui-ci se retrouve au 10e rang avec "7 bonnes raisons" (37e sans apostrophes). C'est l'fun. Recherche sur le web entier, il se perd quelque part dans 880 000 résultats... Conclusion : les bonnes raisons sont plus présentes sur le web que dans les blogs !

Lectures pivots

Quelques lectures pivots desquelles je n'ai retiré que du bien :

1. Marie Cardinal, Les mots pour le dire.
2. Antoine Joie, Le 28esque voyage, pour les adolescents (et leurs parents) bercés par la soif d'un exil vers l'Ouest.
3. Annie Marquier, Le pouvoir de choisir.
4. Denis Pelletier, L'Arc en soi, essai sur le sentiment
   de privation et de plénitude.
5. Jacques Salomé, plusieurs titres, dont Si je m'écoutais… je m'entendrais.
6. Eckhart Tolle, Le pouvoir du moment présent.
7. Judith Viorst, Les renoncements nécessaires.

Mal élevé

Terminé la lecture du roman "Mal élevé "
de Stéphane Dompierre. Écriture efficace,
sans longueur, bien que la trame de fond
se joue autour d'une perte amoureuse.